dimanche 19 décembre 2010

Coup de Ouah!!!!

Je viens de découvrir un rêve: des aiguilles interchangeable en bamboo


Et fourni par Aldi, s'il vous plait, je crois que leur cable ont fait de gros progrès...

Seul kouak, leur prix et le fait que j'ai déjà toutes ces aiguilles!

vendredi 17 décembre 2010

The Beach Street Knitting Society and Yarn Club

Comme quoi tout arrive, un livre qui n'est pas de la fantasy. Il m'a été offert par Anna, une de mes amies tricoteuses. Petit détail amusant, il a été réédité sous un autre titre: Diva don't knit. Ce que nous savons tous être faux, Julia Roberts en tête des représentantes.

Bref, c'est un agréable roman à lire, l'histoire d'une femme qui se reconstruit et se redécouvre à la suite des trois pires situations stressantes que l'on puisse vivre (selon le livre): un divorce, un deuil et un déménagement.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, car oui, cela tourne autour du tricot. Combien il peut être évacuateur de stress, vecteur de souvenir et il faut dire moyen de socialisation. Mes premières amies ici en Australie furent celles que j'ai rencontrée au club de tricot. Aussi découvrir avec une autre personne que nous faisons toutes les deux du tricot amène bizarrement comme une complicité, un lien de solidarité.

Résumé

Pour chaque femme qui a un jour révé de tout recommencer, d'être une meilleur mère ou juste de tricoter une vraiment jolie écharpe.
Jo Mackenzie a besoin d'un nouveau départ. Récemment veuve avec deux jeunes enfants et une situation financière précaire, elle quitte l'agitation londonienne pour reprendre le magasin de laine de sa chère grand-mère située dans une petite ville tranquille au bord de la mer. Là, elle trouvera le confort inespéré d'un tricothé qui se rassemble une fois par semaine pour échangé les dernières rumeurs et occasionnellement de nouveaux points.. Quand un nouvel homme entre dans la vie de Jo, le club a plus de difficulté à se concentrer sur une maille à l'endroit, une maille à l'envers. The Beach Street Knitting Society and Yarn Club est un conte rafraichissant et réussi sur le pouvoir de l'amitié et des nouveaux départs.

Ceci est la traduction du quatrième de couverture, je ne sui pas sure qu'il soit très réussi à part la dernière phrase qui décrit vraiment bien le livre et ils oublient de dire qu'il est très amusant.

jeudi 16 décembre 2010

235ème anniversaire de Jane Austen

Et bien sur Google le commémore avec une petite en-tête adéquate...


J'ai vu beaucoup de film, mais je n'ai encore lu aucun roman... à mettre sur la liste des "à lire".

jeudi 9 décembre 2010

Wind of fury

Troisième tome de la trilogie... lue...

Et vraiment mieux, ca bouge plus, les personnages sont moins plats, l'action est plus intéressantes. Peut-être est-ce du au fait qu'à nouveau on a deux points de vue narratif: le coté valdemarien et le coté hardornien. J'ai beaucoup aimé le personnage de Ann'dra, j'aime bien les personnages Shin'a'hin en général, ils ont un fatalisme motivant. Alors qu'en général le fatalisme est un boulet, le leur les fait toujours aller de l'avant. Peut-être qu'avoir une déesse qui intervient de manière concrète aide aussi.

Bref, bonne trilogie quand on enlève celui du milieu...

Résumé sur nooSFere:

Fléaufaucon était à bout de forces, coincé dans le vide entre les portes magiques où l'avaient précipité les frères du faucon. Ancar d'Hardorn l'en a arraché par hasard, comprenant le profit à tirer d'un Adepte qui le servirait. Mais Fléaufaucon supporte mal d'être captif d'un petit roi faux et méchant, d'un petit mage mal dégrossi et guette la moindre faiblesse de son nouveau maître pour l'éliminer et se retourner ensuite contre ces frères du faucon qu'il hait.
     Dans le jeu du chat et de la souris que se livrent ces deux êtres, le pire serait qu'ils s'aperçoivent qu'ils ont les mêmes ennemis et que leurs puissances associées permettraient de les vaincre. Car les protections magiques dont bénéficiait Valdemar ont été levées par le fantôme d'un Héraut Mage, et Elspeth et Ventnoir devront lutter avec la force du désespoir, ameuter mages et troupes de leurs alliés pour défendre le Royaume au milieu des vents furieux levés par la magie.

Je découvre en copiant ce résumé le nom francisé de certains personnage, franchement, je préfère le nom du méchant en anglais Falconbane, ca veut dire exactement la même chose mais ca sonne mieux...

mercredi 24 novembre 2010

Winds of change

Tome 2, de la trilogie des mages... lu!

Il a été plus dur à finir celui-ci que le premier. Peut-être parce que dans celui-ci tous les personnages sont réunis et qu'on ne passe pas d'un point de vue à une autre, Eslpeth, Darkwind. Là, ils sont ensemble et soyons honnêtes les romances sont un peu convenues. L'action a de la peine à se mettre en place.

Mais une fois lancée, je dois dire que les dernières pages sont allées très vite!

Je ne sais pas, mais je ne me passionne pas pour ces personnages comme je me passionnais pour Vanyel, Talia et les griffons.

Je viens de commencer la troisième tome et c'est vrai que cette fois j'accroche mieux, peut-être parce qu'ils sont un peu plus poupée du destin peut-être. Qui a dit que c'était parce que Vanyel réapparait?

Résumé: Ballottée par les vents du destin, Elspeth, héritière du trône de Valdemar, cherche désespérément un mage capable de s'opposer aux puissances noires qui menacent son pays.

Au centre des terres interdites du clan des K'Sheyna, elle découvre un univers vieux de plusieurs millénaires, jadis contaminé par une catastrophe surnaturelle. Des races étranges issues des légendes, griffons mages, lézards humanoïdes, guerriers mages y luttent contre des monstres assoiffes de sang et de pouvoir, avides de s'emparer de toute magie pour renforcer la leur. Car près des terres des K'Sheyna règne Mornelithe Tuefaucons le bien nommé, immortel enfant du changement, mélange d'homme et de lynx, qui développe sa puissance comme un chancre malsain, guettant la moindre faiblesse des adeptes du clan, se repaissant de plaisir et de sang.

Prise dans cette guerre, Elspeth va devoir trouver sa propre voie, aidée par une femme fauve, altérée génétiquement par Mornelithe et dont elle ne sait si on peut lui faire confiance, par un guerrier k'sheyna qui a renié ses pouvoirs d'adepte mage, et par des puissances surnaturelles déléguées par les Dieux.

mardi 23 novembre 2010

Harry Potter and the deathly hallows, Part 1


Je ne pouvais pas manquer d'aller le voir! Je ne sais pas quand il est sorti, mais aujourd'hui fut la parfaite opportunité. J'étais à coté d'un cinéma, je n'avais rien à faire de particulier cet après-midi et il passait le film. La meilleure surprise fut d'apprendre que le mardi, c'est prix réduit. Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde!

Pour en revenir au film, je n'ai pas vraiment apprécié le numéro 6, mais là, le 7, pour la première partie, je suis conquise! Bien sur comme toute adaptation, il n'y a pas tout. Les livres de Rowling sont bien trop riches pour cela, mais cette fois, il n'y a pas d'invraisemblance, on ne brule pas le Terrier! Dès le début, on est dans cette atmosphère lourde de la menace de Voldemort qui plane. Le mariage en est teinté avec une robe de mariée blanche et noire. Comme je le disait tous les détails ne sont pas là, mais l'ambiance, la trame y est. Bref un très bon Harry Potter. Une mention spéciale pour les magnifiques paysages qu'on découvre pendant la fuite, ils sont grandioses, une vraie pub pour le tourisme britannique. Il y a aussi les excellents seconds rôles, j'aime particulièrement l'acteur qui joue Scrimgeour, Bill Nighy, même s'il ne correspond pas du tout à l'idée que je m'étais faite du personnage. J'avoue, j'adore les acteurs anglais, vive Alan Rickman!

Note de la pantouflarde: j'adore les nouvelles salles de cinéma à Charlestown, encore plus confortable que mon canapé! Sauf qu'avec l'air conditionné, j'ai eu froid et j'ai oublié qu'il n'y avait pas d'entracte contrairement à la Suisse.

Note de la trictoteuse: Ouah, pleins de beaux ouvrages, j'ai un coup de coeur particulier pour le pull gris à capuche d'Hermione! Accessoirement, c'est celui qu'on voit sur une des affiches.

lundi 8 novembre 2010

Bavarois à la sauce australienne



Comme je l'avais dit fréquemment sur mon précédent site, mon gâteau que je préfère faire et manger, ca tombe bien quand cela se conjugue, est le bavarois aux framboises. En fait selon la recette traditionnelle, ce n'est pas un bavarois, mais je ne saurais pas comment l'appeler autrement. Bref, hier soir, nous avions une soirée de collecte de fond pour les junior du club de badminton. Une soirée très sympathique où on a fait un trivial poursuite par équipe, une tombola et certains, dont moi, ont amenés des gâteaux à vendre.

J'ai longtemps hésité avant de le faire parce que un, il prends quand même du temps, deux, je n'étais pas sur qu'il plaise aux Australiens. On est quand même au pays du cheesecake. Trois, ce n'est pas un gâteau que j'ai vu souvent amener, je devrais dire jamais. Mais, moi j'avais envie dans manger un, donc je me suis lancée.

Le problème a été de trouver certains ingrédients, la gélatine en feuille, pas trouver, j'ai du utiliser de la poudre, une première. Le fromage blanc, j'ai abandonné, j'ai essayé le yogourt grecque mais je pense qu'il est un peu trop acide et pas assez gras, seulement 6.5% de MG. Un élément que je ne pensais pas poser problème est la crème, mais la prochaine fois, il faudra que je la choisisse avec plus de soin, elle a tout de suite tournée au beurre avant de passer par la crème fouettée... Pas un vrai beurre, mais quand même trop compacte.

La recette originale et en italique les modifications pour l'Australie

Ingrédients

  • 200g de farine 1 1/3 tasse australienne (t.a.)
  • 100g de beurre 1/2 t.a. de margarine de colza light, plus par flemme que manque de beurre.
  • 50g de sucre caster sugar, un peu moins d'1/4 t.a.
  • 1/2 cc de sel
  • 1 oeuf

  • 4 feuilles de gélatine j'ai essayé une CS de gelatine en poudre dans 5 CS d'eau froide, c'est un peu trop, mais il faut dire que les Australiens sont des spécialistes pour mettre de la gélatine comme épaississant dans les yogourts.
  • 250g de framboises, surgelées
  • 2 oeufs
  • 50g de sucre
  • 150g de fromage blanc 20%MG yogourt grec, pas convaincue mais rien ne tient la comparaison avec le fromage blanc pour l'instant... je cherche
  • 180g de yogourt framboises
  • 1.5dl de crème jamais vu une crème tournée aussi vite, elle était un peu trop fouettée, presque du beurre, zut. Je devrais regarder pour une plus naturelle.


Préparation:

Le biscuit

Réduire le beurre et la farine en semoule.
Ajouter le sucre et le sel. Mélanger et former une fontaine.
Casser l’oeuf dans une mesure graduée et ajouter de l’eau froide pour obtenir 0,8 dl. Verser au centre de la fontaine. Former la pâte rapidement, fraiser et couvrir.
Réserver au frais au moins 15 minutes.

Abaisser la pâte sur du papier à pâtisserie pour obtenir un cercle de 24 cm ou directement foncé le fond d’un moule à charnière de cette grandeur. Cuire au four à 180°C jusqu’à un début de coloration.
Maintenant je fais un carré de 20 sur 20. Là j'ai essayé de faire cuire le biscuit dans un moule à gâteau, mais je pense que je ferais sans la prochaine fois. Bien penser à mettre du poids sur le biscuit, j'utilises des pois-chiches...

Le bavarois

Faire tremper la gélatine dans l’eau froide et réserver. Diluer la gélatine dans 5 CS d'eau
Séparer les jaunes des blancs, réserver les blancs dans une petite terrine et mettre les jaunes dans une terrine moyenne.
Ajouter le sucre aux jaunes et fouetter jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
Réduire les framboises en purée et réserver. Avec de la gélatine en poudre, j'ai fait chauffer les framboises surgelées, réduire en purée et chauffer encore un moment pour dissoudre la gélatine. Le tout au bain marie...
Ajouter le fromage blanc, le yogourt aux framboises et la purée de framboise, fouetter 1 min et réserver l’appareil.
Égoutter la gélatine, mettre dans un bol et faire fondre 1 min à 50% de la puissance. Comme on s'en doute ces deux étapes ne sont plus d'actualité...
Ajouter la gélatine à l’appareil et fouetter 1 min.
Battre les blancs d’oeufs en neige et incorporer délicatement.
Fouetter la crème jusqu’à ce qu’elle soit ferme et l’incorporer délicatement.

Le montage

Reprendre le moule à charnière avec la pâte brisée cuite froide. Verser le bavarois sur la pâte et mettre au réfrigérateur pour 4 heure minimum. Retirer le cercle et servir frais.
Je n'ai pas trouvé de moule à charnière ici. Donc j'ai chemisé mon moule à gâteau, mis le fond et verser l'appareil de la mousse. J'ai ensuite laissé une nuit au frigo (5 heures suffise). Au moment de servir j'ai coupé les bords pour faire plus net. Finito terminato.
Pour la décoration, je vais au plus simple quelques framboise entières et une petite feuille de menthe.

mercredi 27 octobre 2010

Because I deserve it...

Non, je ne me mets pas à écrire en anglais, juste l'expression de pourquoi j'ai tricoté quelques choses que je ne pense jamais utilisé. Jean-Pierre disait que de temps en temps au milieu d'un gros projet, on avait besoin de faire quelques choses de rapide et simple. Et c'est tellement vrai...

Je suis arrivée en Australie avec uniquement deux laines, j'ai fini le projet en cours, le whisper cardigan. Mais depuis, tout ce que je commence finit défait. J'ai déjà commencé deux fois ma tunique style empire, commencé 4 cardigans pour bébé sans en être satisfaite. J'avais besoin de quelques choses qui se termine!

C'est déjà à moitié fait.



Modèle: Wine and Roses Mitts by JoLene M. Treace dans Interweave Knits, Winter 2006
Laine: JaggerSpun Zephyr Wool-Silk 2/18
Aiguilles: 2.5 mm KnitPicks Nickel, 80cm
Echantillon: 15 mailles pour 21 rangs


Mon échantillon ne correspondait pas exactement, mais je l'avais fait à plat alors que le tricot était en rond. En général, je tricote plus serré en rond. Je me suis donc lancée, surtout qu'un peu trop grand ne dérangerait sûrement pas: j'ai de grande paluche.

Ce fut un régal à tricoter et j'aime tellement la première que je me dis qu'il y a même peut-être moyen que je les mette de temps en temps. J'ai du agrandir le pouce, parce qu'autrement c'était vraiment trop petit.

Je pensais que cela me prendrait plus de temps pour faire la première, mais une journée et elle était terminée. Pour la seconde, je pense que je devrais la finir cette semaine... mais je serais sûrement moins rapide...

dimanche 24 octobre 2010

Premiers essais de filage

J'ai mon premier bout de fil!!!

Il m'en aura fallu du temps... Je ne file pas correctement, mais j'ai mon premier bout de fil. Reprenons au début de l'histoire. Il y a deux mois j'ai rejoint le Stitch'n'Bitch de Newcastle. On se rencontre toutes les semaines le lundi soir  au Wests de Mayfield pour tricoter et papoter. C'est très sympa.

Jen, l'initiatrice de ce petit rendez-vous est une accro du fil et sous toutes ses formes, de la laine pure, à la laine filée et la laine tissées. En clair, elle file, elle tricote et elle coud. Et bien sûr tout cela à merveilles. Elle a aussi un stock, qui me parait inépuisable de matériel et de matières premières. Bref son mari à quand même mis un véto sur son achat de roue à filer. Mais voilà, elle en avait une prêtée chez des amies et celles-ci voulaient la lui rendre. Plus de roue à la maison où allait donc aller cette roue sans domicile fixe? Elle a atterri dans mon salon, il y a deux semaines.



L'Ogre ne peut rien dire parce que c'est un bel objet en bois... Mais jusqu'à aujourd'hui, j'ai été incapable de filer le moindre petit bout de la laine que m'a donnée Jen pour m'exercer, une très belle et très douce laine mérino. Elle est de couleur très variée, je me demande ce que cela donnera quand/si j'arrive à la filer entièrement


En tout cas les débuts sont laborieux. Je passe mon temps à serrer/déserrer ce qui tient la bobine (la partie en bois claire). Si c'est trop serré, le fil ne se tord pas, si ce n'est pas assez serré, le fil ne va pas s'enrouler autour de la bobine. Donc contrairement à ce qu'on peut voir sur des vidéos youtube, le processus est loin d'être continu. Je tors le fil, je resserre, enroule le fil, déserre, tors le fil, etc. C'est un peu comme un spindle mais en nettement plus encombrant et plus facile quand même.

Mais j'adore et le résultat à l'air sympa... je m'enthousiasme peut-être un peu vite, mais mieux vaut cela que l'inverse...

jeudi 14 octobre 2010

Valdemar, encore...

En Europe, les éditions Milady ont commencé à rééditer la saga de Valdemar. Je l'ai quittée avant d'avoir pu les racheter tous et surtout les relire tous. J'ai donc continué à les lire en arrivant ici et cette fois en anglais. Toujours aussi bien, 4 jours pour lire cet tome: Winds of fate.

Winds of fate est centré sur Elspeth, l'héritière qu'on a pu déjà découvrir dans la trilogie des flèches. Elle est devenue tout ce que pouvait espéré une mère reine: un esprit brillant, une excellente guerrière et une dévotion à son peuple sans faille. Valdemar est sous le coup de la grave menace d'Ancar, la solution est de ramener la magie dans le royaume et c'est à Elspeth de trouver le mage qui éduquera tout ce petit monde. Et comme madame se devait d'avoir tous les talents, elle a bien entendu le potentiel de devenir un très puissant mage. Mis à part ce coté d'Elspeth qui est la démonstration du gros bill en jeu de role, j'ai aimé le livre, le fait qu'un chapitre sur deux soir sur Elspeth et l'autre sur Darkwind (aussi un exemple de gros billisme). Je pense que c'est une des raisons pourquoi j'ai  lu si rapidement. On lit plus vite pour revenir à l'autre histoire.

Comme on le comprendras aisément au brouillis qu'est le paragraphe précédent, j'ai aimé l'histoire, les caractères secondaires sont attachants et intéressants. J'avoue que les deux personnages principaux eux ont le défaut d'être trop des héros, parfaits jusqu'à leur faiblesse qui sont quand même des forces... Bref, c'est un livre qui se lit avec beaucoup de plaisir...

Allez le résumé des pages françaises de la science fiction.

Ballotée par les vents du destin, Elspeth, héritière du trône de Valdemar, cherche désespérément un mage capable de s'opposer aux puissances noires qui menacent son pays.

Au centre des terres interdites du clan des K'Sheyna, elle découvre un univers vieux de plusieurs millénaires, jadis contaminé par une catastrophe surnaturelle. Des races étranges issues des légendes, griffons mages, lézards humanoïdes, guerriers mages y luttent contre des monstres assoiffés de sang et de pouvoir, avide de s'emparer de toute magie pour renforcer la leur. Car près des terres des K'Sheyna règne Mornelithe Tuefaucons le bien nommé, immortel enfant du changement, mélange d'homme et de lynx, qui développe sa puissance comme un chancre malsain, guettant la moindre faiblesse des adeptes du clan, se repaissant de plaisir et de sang.

Prise dans cette guerre, Elspeth va devoir trouver sa propre voie, aidée par une femme fauve, altérée génétiquement par Mornelithe et dont elle ne sait si on peut lui faire confiance, par un guerrier k'sheyna qui a renié ses pouvoirs d'adepte mage, et par des puissances surnaturelles déléguées par les Dieux.

lundi 11 octobre 2010

The city and the city

The city and the de city de China Miéville.

Que pourrais-je dire d'autre que courez le lire! J'ai entendu parler de ce livre sur le blog d'un ami: Thias. Il a toujours des lectures intéressantes. Souvent des bouquins que je ne choisirais pas si je les voyais dans une présentoir, mais ses articles me donne quasiment toujours envie de les lire.

Quand j'ai lu son article sur the city and the city, j'ai tout de suite voulu le lire. Parce que premièrement comme d'habitude sa critique était excellente et donnait envie de le lire et deuxièmement parce que j'avais déjà lu un livre de China Miéville: Les scarifiés, un livre que j'avais beaucoup aimé même si le début de la lecture était laborieux.

Celui-ci, alors que je l'ai lu en anglais et pas en français comme l'autre, est d'une lecture plus facile, même s'il devient impossible de ne s'arrêter de lire que quand on a passé la moitié. J'ai pris deux semaines et demie pour les 150 premières pages, une après-midi pour lire les 170 dernières. Pareil pour les scarifiés, mais pour les scarifiés, j'ai du batailler pour arriver à la moitié. C'est aussi un pavé de plus de 500 pages...

Dans The city and the city, nous ne sommes pas dans un monde fantasy qu'a imaginé China Miéville mais dans une réalité de tous les jours avec une pointe d'étrangeté. Comment décrire autrement ces deux villes qui vivent dans le même espace et temps, mais qui ne se voient pas, ne veulent pas se voir. On pourrait comparer ces deux villes à Berlin-est et Berlin-ouest pendant la guerre froide pour la politique, mais au lieu d'être voisine, ils sont dans des espaces-temps alternatifs. L'autre grande différence est que ce roman reste un roman d'enquête et une enquête passionnante. Je n'en dirais pas plus, cela pourrait en gâcher la lecture. Le résumé chez Panacmillan, il n'est malheureusement pas encore sorti en français.

mardi 5 octobre 2010

Week end à Nelson Bay


Le premier mai est ici le 4 octobre, bref la fête du travail qu'on fête en ne travaillant pas. L'Ogre et moi avons décidé d'aller explorer les environs le temps d'un week end, direction Nelson Bay, connu pour ces dauphins.

On a vu les dauphins, même depuis la plage, mais on a aussi vu des baleines, des kangourous et des phoques. Pour les animaux maritimes, on a quand même du prendre le bateau (excepté les dauphins). On a choisi une compagnie ecofriendly et le bateau était un magnifique catamaran. Froussarde, j'ai pris la pastille contre le mal de mer, l'Ogre non. Résultat une Noisette se fendant la poire sur la grosse houle et un Ogre ressemblant au cachet qu'il n'avait pas voulu prendre. Mais il est resté fort :-p

La ballade en mer a été fantastiques, on a vu les baleines, pas photographiée, ca tanguait fort, les phoques et les dauphins et rencontré un capitaine breton du nom de Yves très sympa.

On a aussi traversé le parc Tomaree, nom aborigène de la colline sud qui borde l'entrée de la baie. Très sympa, le sol un mélange de sable et de terre meuble, ca rendait les montées sportives. On a terminé en longeant un golf où on a vu des kangourous et les hasards on fait qu'à la sortie du parc nous soyons arrivés par hasard exactement en face de notre Bed and Breakfast, Bobby's B&B. Je ne peux que recommander, Bobby est une dame adorable aux petits soins pour vous même si elle radote un peu. J'en profite de faire aussi la pub de notre croisière sur la baie: Imagine cruise. Les gens sont adorables, prévenants et surtout s'ils vous conseillent de prendre la tablette, prenez là!

Plus de photo par ici.

vendredi 24 septembre 2010

Nouveau Joujou

Tout comme Lutine, j'aime bien donné des noms aux choses, je suis toujours jalouse de sa nouvelle amie, Yvonne. J'en cherche une d'occase mais je n'ai toujours pas trouvé.

Donc j'ai la joie de vous présenter mon nouvel indissociable compagnon: P'tit Louis.


Je ne peux pas prendre en photo le vrai puisqu'il est mon nouvel appareil photo avec ces 8.1 MPixels... Je lui ai déjà tricoté une petite pochette, violette, mais elle est à retravailler et il ne se formalise pas de ce violet très féminin...


J'avais fait un petit trou pour connecter les écouteurs, mais si j'enlève les écouteurs, il arrête la musique et une fois à l'intérieur de la pochette, je n'ai plus accès à l'écran... donc, je réfléchis... peut-être un rabas en deux parties qu'ensuite je ligotte autour...

Autrement la grande fan d'apple que je suis et qui rêvais d'un iphone est quand même très conquise par son Droid. Je manipule bien mieux le clavier de celui-ci que de l'iphone et dès le début. Un de mes regrets est l'absence d'une bonne app pour le tricot. Le mieux que j'ai trouvé est Knitting stash et il ne gère pas le plus important: Le stock de pelote.

Si quelqu'un connait un petit programme de base de donnée que je pourrais adapté à ce besoin, je suis preneuse. Enfin bref, j'en suis très contente...

mercredi 22 septembre 2010

Cette fois, on charaben...

Toujours des restes pour moi, chic! Donc encore un petit bento. Comme je devais attendre notre agent immobilier pour l'inspection trimestrielle, je me suis même amusée à en faire un peu plus.

Monsieur Patate pêche.

Bento #7
En haut le petit tableau, en bas, de quoi ne pas voir faim. Il y a plein de riz, un monsieur patate qui est un haricot. Il y en a d'autre dans la partie inférieure. Il y a aussi du boeuf thai à la sauce caramel, des légumes dont des broccolinis que j'ai utilisé pour les palmiers...

Bref, je me suis bien amusée. Le plus dur aura été de mettre la graine de sésame pour faire l'oeil de Mr Patate. Dommage que je n'ai pas eu de sésame noir.

Est-ce que je devrais le présenter pour le concours de Mademoiselle M.

mardi 21 septembre 2010

On prend les mêmes

Et on recommence.

Hier je n'avais utilisé que la moitié des restes. Hier soir, nous sommes allés au resto pour fêter mon anniversaire, donc pas de nouveaux restes. J'ai donc repris les mêmes et accommoder légèrement différemment.

bento #6
Le yogourt est cette fois sur lit de confiture aux myrtilles, de la Dalfour, marque bien française et moins chère ici qu'en Suisse. Les bâtonnets de carotte et les olives ont été râpés et coupées, ajouter quelques graines de sesame pour en faire une salade. Au lieu des tomates séchées, nous avons une sauce tomate faite par l'Ogre.

Hier j'ai mangé mon bento avec des baguettes. C'est bien. Ca ralentit le repas, ce qui est toujours une bonne chose, ca sustente mieux!

Une des premières choses que j'ai acheté quand je suis arrivée en Australie est le petit set de couvert de lunchbox. (Vous pouvez les voir sur le top de la box en dessous) Très pratique, il y a dans une petite boite: des baguettes, une fourchette, une cuillère et un couteau. Que demander de plus. Au départ, je l'utilisais pour manger les salades que j'achetais dans les supermarchés, maintenant, il est parfait avec mon bento-tupper. Je garde le tout dans un furoshiki, un joli mouchoir que j'avais reçu au Japon.

lundi 20 septembre 2010

Mal au dos, on fait des bentos...

Après une semaine d'immobilisation suite à un petit tour de rein, je recommence à me mouvoir quasi normalement. Pour une fois dans le frigo, il restait des restes après le passage de l'Ogre. J'ai donc eu matière pour me faire un petit bento. Rien de très japonisant, mais j'ai réussi à être assez varié.

Bento #5


Il y a les restes de deux repas différents: la tranche de porc à la moutarde et les raviolis poulet-asperge. J'avais lu récemment mais je ne sais plus où qu'un bento devait comporter 5 couleurs différentes. Avec celui-ci c'est mission réussi. J'ai accommodé le porc en lui ajoutant des haricots en boites et quelques tomates séchées (du vert et du rouge). Je me suis fait un yogourt avec des morceaux de fraises fraiches (un peu de blanc). Avec les carottes (un peu d'orange), j'avais mon quota de couleur. J'ai quand même mis quelques olives, il restait de la place.

Dans le reportage en question, il montrait l'évolution du bento au Japon. Il montrait d'abord le design très in du bento de mes rêves, le Ojue (voir ci-dessous), qui avait conquis les hommes. Ensuite, il montrait une boite assez standard, même aspect que mon topperware. L'innovation était qu'il était vendu avec 4 moules en silicone de couleurs différentes: une rouge, une jaune, une orange et une verte. La cinquième couleur était évidemment le blanc du riz, qui remplit chez nos amis nippon la moitié d'un bento. Le rouge était pour les protéines, soit de la viande, soit du thon ou saumon grillé. Pour le jaune, il s'agissait d'une omelette. Le vert était pour un légume vert et l'orange pour un fruit ou une friandise. Mon bento du jour n'a pas vraiment cette répartition. Ma seule interrogation, sera sur la quantité de féculent. Me connaissant, je ne pense pas qu'il y en aura assez.

Comme tout le monde s'en doute, je veux le vert!
Edit: J'ai retrouvé où! Sur le blog de bento & co ici

jeudi 16 septembre 2010

L'apprenti du sorcier

Depuis que Lutine en avait parlé sur son blog, j'avais envie de le voir. Mais le kouak, il est sorti en France avant de sortir en Australie... pfff... Bref, la semaine dernière, il est enfin sorti et j'ai foncé au cinéma. Faudrait apprendre à désodoriser les cinémas, deux fois que cela puent la transpi et seulement deux fois que je suis allée au cinéma.

Je n'en ferai pas un résumé, Lutine l'a déjà fait. J'ai bien aimé. Comme elle dit ce n'est pas du grand cinéma, mais c'est divertissant. Et des fois c'est tout ce que l'on demande...

J'ai adoré la scène des balais volants, référence au Merlin de Walt disney ou à Fantasia? Je ne sais pas sur le coup j'avais pensé à Merlin. Pour une fois le grand benet de héros a vraiment une tête de grand benet, ca change de ces top model qui sont sensés être les vilains petit canard.

Je confirme ce que disait Lutine, Nicolas Cage est très bien dans ce film, dont hélas la fin est très entendue...

Marrant autant dans Wizard Squared, une fin plus heureuse m'aurait plu, autant ici c'était de la rallonge...

mardi 14 septembre 2010

Wizard squared

Wizard Squared, The rogue Agent 3, de K.E. Mills

Troisième tome de la trilogie, enfin trilogie, on verra. J'ai beaucoup aimé ce livre. On finissait un peu le deuxième tome avec la conclusion que personne n'était plus puissant que Gérald. Alors comment le lancer dans des aventures qui puissent défier son pouvoir. K.E. Mills à trouver la solution, qui peut-être aussi puissant que Gérald: un autre Gérald.

Même si le début de la lecture est un peu déroutante, on revit la conclusion de la première tome, j'ai apprécié l'utilisation du concept de la série Slider, un choix qui change l'évolution du monde.

Mon seul mauvais point: Il est où le happy end! ce qui me faire dire trilogie on verra. La fin laisse mon coté fleur bleue sur sa faim, ce qui me fait dire que peut-être nous n'en avons pas fini avec les aventures de Monk, Gerald, Bibie et Mélissande. Après tout, ce bouquin ne date que de 2009.

Aller, je vous refais une mauvaise traduction du quatrième de couverture en anglais:

Quand le personnel de Witches Incorporated reçoit un visiteur d'une réalité alternative, ils sont choqués d'apprendre que la vie dans ce monde parallèle est tout sauf un compte de fée... et tout cela à cause de Gerald Dunwoody.

A un moment crucial dans le temps, Gerald a tourné à gauche... mais dans cette autre réalité, il a tourné à droite. Maintenant ce monde parallèle qui est à leur porte est plongé dans la terreur, regardant arrivé une guerre thaumaturgique dont les dimensions pourraient dépassées les limites de leur monde et plonger toutes les réalités dans un cauchemar.

La seule personne qui pourrait stopper ce magicien roublard (horrible traduction venant de D&D pour rogue) devenu fou est un autre magicien roublard. Mais que faire quand on ne retrouve plus ce magicien.

Wizard Squared est le troisième roman dans la série de l'agent roublard (j'aime pas cette traduction, si quelqu'un à mieux), écrit par une des stars montante de la fantasy.

lundi 13 septembre 2010

Un peu moins froid au pied...


Je ne savais pas trop quoi faire après mon petit whisper et je n'aime pas rester sans tricot. Je ne sais plus chez qui j'ai vu ces mignons petits chaussons. Je m'en suis rappelée et cela matchait avec une de mes deux laines (quel stock, deux laines différentes!). Donc je les ai tricotés, le premier était fini le soir même, l'autre a pris un peu plus de temps.

Ils sont un peu trop grand, je ne suis pas sure que je les porterais. De plus, un fil en coton n'était peut-être pas le meilleur choix. Je les garde plus comme le souvenir d'un excellent dimanche après-midi passé avec de vraiment très gentilles tricoteuses australiennes. Notre hôtesse est allemande, mais elle n'avait rien à envier aux australiennes, peut-être est-ce du au fait qu'elle vive ici depuis bientôt 20 ans...

samedi 11 septembre 2010

Réflexions inutiles sur le prix des patterns

Je suis actuellement le blog d'Ariane "Falling stitches" qui a une rubrique intéressante qui s'appelle What's on Ravelry, qui est en fait une sélection de ses préférés dans les derniers modèles sortis. Il s'agit souvent de modèles payants et je me faisais la réflexion en regardant certains modèle de l'issue 8 que j'avais de drôle de raisonnements.

Le raisonnement était le suivant: 6$ pour un modèle de chaussette, mais quand les prix cesseront ils d'augmenter. Mais cette même somme pour un cardigan ne me choque pas... Pourquoi parce que le modèle est plus grand? parce qu'inévitablement je rapproche le prix d'un patron au prix final de l'objet. On achèterait pas une paire de chaussette au même prix qu'une jaquette. Est-ce que le développement d'un modèle de chaussette prend le même temps qu'un modèle de cardigan. Je pense que si on le fait proprement le développement d'un modèle de veste devrait prendre plus de temps qu'un modèle de chaussette, parce que:
  1. Tricoter un cardigan prend plus de temps qu'une paire de chaussette et que si on fait du bon travail, on tricote le modèle que l'on vend, si on fait du très bon boulot on tricote toutes les tailles. Ce qui m'amène au point 2.
  2. Un modèle de cardigan demande plus de variation de taille. Une paire de chaussette, on a quand on a de la chance une taille S et une taille M.
  3. Il y a peu d'évolution dans le développement de la structure d'une chaussette, on choisit dans une gamme de méthode pour faire le talon, une gamme pour faire la pointe. L'originalité réside surtout dans les choix esthétiques et création de points. La dernière innovation vraiment structurelle que j'ai vu était cette formation du talon. Alors que pour une veste tout peut-être changer... mais je me mets peut-être de la poudre aux yeux...
Bref que de réflexions passionnantes. J'en reste que ce qui me choque le plus reste l'ascenseur des prix des modèles. Quand je me suis mis sérieusement au tricot, il y a quatre ans, les modèles les plus chers de chaussettes était à 4$50 et ceux de veste à 6$. Maintenant, les chaussettes commencent à 6$! Mon petit côté Picsou fait que je n'achète un modèle que si je suis sure de le faire (ce qui n'est pas le cas avec les magazines...)

Pour l'instant, je n'ai jamais été déçue par les explications. Le résultat, un peu, dans le cas de mes deux cardigans d'ailleurs, mais toute la responsabilité est mienne, j'ai prix une autre laine et le résultat est un peu lâche à mon gout et pas très flatteur. En en-tête, j'ai mis une photo des 4 que j'ai acheté:

- Arwen, de Kate Gilbert
- Cairdeas, de Yarnissima
- Juliet, de Zephyr style


Celui que je matte encore avec insistance, mais tant que je n'ai pas trouvé la laine, c'est wisteria, un modèle de Kate Gilbert paru dans Twist collective, mais quand je vois les réalisations, je ne suis pas sure qu'il soit très flatteur...

Bref petites réflexions d'un samedi après-midi...

mardi 7 septembre 2010

Un cardigan et quelques audiolivres...


Pfff... je regarde mes notes sur Ravelry et je constate que j'ai commencé ce tout léger cardi en février... je suis d'une lenteur! Bon, pendant cette période j'ai quand même fait un béret, 2 cardigans pour bébé dont un que j'ai recommencé plusieurs fois et un bandeau pour les cheveux... Bilan léger pour l'année 2010, mais je ne suis pas une tricoteuse rapide, on le saura.

Je suis arrivée en Australie, le cardigan était moins qu'a moitié tricoté, j'en étais à la deuxième manche. De plus, je me suis trompée quand j'ai fait le bas du dos et j'ai du entièrement le défaire... Bref en deux semaines, j'ai fait deux fois la partie inférieure.

Que dire... cet fil moitié soie, moitié laine est un pur bonheur à tricoter, c'est le même que j'avais utilisé pour la capelette de mariée. Je ne l'ai pas pesé mais il me reste une sacrée quantité de mon cone. Heureusement vu que pour l'instant c'est la seule laine que j'ai à tricoter. Le cardigan est tout léger parfait pour mettre sur un petit débardeur à bretelle pendant les futures soirées d'été australienne. J'essaie de me constituer une garde robe pour les chaleurs d'ici.

Pendant ce tricot et en Australie, j'ai expérimenté le tricot en écoutant des audiobooks. Le premier fut "Le sumo qui ne pouvait pas grossir" lu par l'auteur Eric-Emanuel Schmidt. C'est une petite merveille et lue par l'auteur, je pense qu'on y sent encore mieux sa touche. Cela m'a donné envie de le lire, mais ce sera pour dans 3 ans... C'est un livre très court juste une heure et demi, je n'avais donc de loin pas fini mon tricot... juste une petite session.
J'ai donc entamé une seconde "audtition", Storm Front de Jim Butcher que j'avais déjà lu en français, mais là je l'écoutais en anglais. L'avoir déjà lu m'a bien aidé et la très belle voie de James Marsters m'a bien motivé. Harry Dresden est un personnage tout à fait adapté pour l'ancien Spike. J'ai très facilement réussi à me l'imaginer dans le rôle, même si je n'avais jamais pensé à lui pendant la lecture du roman.

jeudi 2 septembre 2010

Last Exile

Vu qu'en ce moment, j'ai beaucoup (trop?) de temps libre, je commence à regarder la pas si nombreuse collection de manga que j'ai sur mon disque dur. J'ai regardé last exile, je m'y étais intéressée car quelqu'un en avait fait une adaptation jeu de role avec les règles de Savage world

J'avoue, je ne suis pas sure d'avoir tout compris, mais les graphismes sont magnifiques, l'histoire se passe quasi entièrement dans les cieux. On est dans une sorte de 19ème siècle, beaucoup inspiré par la Russie, l'alphabet cyrillique est omniprésent. Deux orphelins qui veulent suivre la voie de leurs pères en devenant des coursiers aériens comme eux, se retrouvent, à cause de leur bon coeur, pris dans la tourmente des guerres et d'une réorganisation du monde...

Bref, c'est à voir, je me rends compte en écrivant cet article qu'il y a pas mal d'Albator dans la trame... Les roses...

dimanche 29 août 2010

La ballade du samedi


Samedi, grand beau temps! Pas de course à faire, on s'en était occupé la veille, la parfaite journée pour aller essayer la voie cyclable qui art de Kotara. Pour avoir une certaine égalité dans les vitesses, l'Ogre prend ses rollers.

Une fois arrivé à Kotara, très belle piste, parfaite pour les rollers et hop, on se lance, moi à vélo bien sur. Cette piste était sensée nous amener jusqu'à Belmont, elle s'est arrêtée à Redhead. Et oui, la piste continuait bien mais n'était pas encore goudronnée, donc impossible à l'Ogre de continuer. Nous avons bien essayé de faire une déviation en prenant la route un moment et en espérant rejoindre une partie terminée plus bas, mais que nenni.

Nous avons rebroussé chemin et décidé d'examiner un peu le coin autour de la fin de la piste cyclable: Redhead. Une plage à vous couper le souffle, simplement magnifique avec ses dunes et elle se termine par de belles falaises rouges. Les vagues étaient incroyable, quand il fera beau et chaud, la deuxième condition n'étant pas encore d'actualité, je reviendrai m'y baigner. Ca donnait envie...

Le retour fut plus pénible, mon vélo s'est déréglé et j'ai fait tout le retour en freinant en permanence. Qui a t'il de plus frustrant que de devoir pédaler dans une descente! Et comme l'Ogre ne s'est pas rendu compte de mon extrême lenteur, il n'a pu faire de réparation qu'à la moitié du trajet... ca a été pénible. Mais il reste les souvenirs de ce petit coin de paradis.



jeudi 26 août 2010

Witches incorporated, Rogue Agent 2

Voilà, premier livre en anglais terminé en Australie... Sans savoir que c'est une australienne qui l'a écrit. Lecture très australienne donc.

J'ai beaucoup aimé, on retrouve le fameux Gerald, extrêmement puissant magicien malgré lui et qui ne comprend/sait pas encore tout ce qu'il peut faire, la princesse Melissandre qui veut absolument être une personne comme les autres et le gentil Monk, génie bien naif.

Contrairement au premier où ils sont un peu victime des événements, dans celui-ci, ils sont enquêteurs (excepté Monk), un pour les services secrets, l'autre pour son agence de sorcières, sans en être une. On les sent motivés et ils veulent en savoir plus...

J'aime beaucoup cet univers où la science et la magie sont inextricablement lié. Petite envie quand on voit leur portail, ce que cela simplifierait la vie quand même, voyage instantané entre l'Australie et la Suisse.

Traduction du résumé amazon: Une affaire d'espionnage, de prise de tête(skullduggery) et de situations inconfortables

Et c'est aussi la première mission officielle de Gerald. Il est à la poursuite d'un saboteur meurtrier et il est à court de temps. D'anciens et nouveaux ennemis combinent leur force pour le contrarier. Encore une fois d'innocentes vies sont en jeu. Il a besoin de ses amis, il ne peut le faire tout seul.

Mais la princesse Melissandre et Reg ont leurs propres problèmes. En association avec la ravissante et brillante soeur de Monk Markaham, elles ont ouvert une agence locale de sorcières, où les problèmes magiques se résolvent pour de l'argent. Le problème est que les filles ont de la peine à garder leurs affaires à flot. Les astres ne se présentent pas bien pour Witches Incorporated - et c'est sans compter le fait que leurs affaires vont les faire croiser le chemin du saboteur de Gerlad.

Rapidement, les vies de chacun sont en jeu et Gerald comprend, trop tard, pourquoi les agents sont supposés ne pas avoir d'amis...



On excusera ma pauvre traduction mais les langue et les traductions ca jamais été mon fort...

lundi 23 août 2010

Première visite de Sydney

Car il y en aura d'autres, j'espère bien. Nous nous sommes concentrés sur le centre-ville, le quartier des affaires.

C'est joli!

Nous nous sommes levés à 5:30 du matin pour prendre le train de 6:39 et arriver à 9:15, passablement crevé, le train était vieux et peu confortable. Arrivés à Central, nous avons d'abord visité le quartier chinois et son jardin.


Un vrai havre de quiétude au milieu de la ville. Cela m'a rappelé certains jardins au Japon. Bon au Japon, ils étaient beaucoup, beaucoup plus grand.

Ensuite nous sommes montés à The Rocks et nous avons traversé le fameux pont de Sydney.


Arrivés sur l'autre rive, on s'est dit que ce qui nous intéressaient étaient sur l'autre rive. Nous avons donc sauté dans un ferry et sommes repartis pour l'opéra de Sydney. C'est beau, de loin, c'est très beau. De près, les voiles perdent un peu de leur magie, ce sont des catelles de céramique.


Après, cela nous sommes allés visiter les jardins botaniques, j'adore définitivement les jardins. Nous avons même suivi au pied de la lettre les conseils des "amis du jardin" et sommes allés faire un hug aux arbres. Marrant.

Nous avons fini la soirée en allant mangé vietnamiens sur Oxford street qui était sensé être la rue vivante de Sydney le soir. Notre guide touristique datait de 10 ans, cela a du bien changé ou nous étions un peu tôt (18H30).

Enfin, ce fut une longue journée et nous avons repris le train pour Newcastle à 21:30. Cette fois malgré l'inconfort du train, j'ai dormi et je me suis réveillée le lendemain sans voix...

La prochaine fois, je prendrais l'adresse du magasin que je voulais visité, on ira aussi voir l'intérieur du Victoria Buildings, on ira au Barracks et j'aimerai bien aller voir la fameuse plage de Bondi. Bon l'Ogre dit qu'on a pas besoin de faire 2h30 de train pour aller voir une plage, surtout que maintenant elles sont à 30 minutes à vélo.

mercredi 18 août 2010

Terminée....

  1. Racheter du tissu, celui que j'avais choisi est resté en Suisse… tête de linotte un jour, tête de linotte toujours, profiter pour acheter le fil et les boutons pression.
    -> Fait!
  2. Acheter un fer à repasser et une planche à repasser, ca aide quand c'est bien plat quand même.
    -> Fait, mon pantalon de clown en est très content aussi!
  3. Soit emprunter ou louer une machine à coudre, soit prendre une bonne grosse de courage et tout coudre à la main!
    -> Et bien j'aurais eu du courage et je l'ai fait à la main, les ourlets de pantalon patienteront.



Elle rend vraiment bien, même si je ne suis pas totalement satisfaite des coutures (je ne le suis jamais :-P).  Pour l'instant, elle me sert à ranger mes clefs, mais je me rends compte que ces dernières sans échappe quand même. Je pense qu'elle servira à ma collect d'argent. J'y mettrai un petit billet de 5$ à chaque fois que je coudrais quelques choses à la main alors que j'aurai pu gagner du temps en le faisant à la machine. Dès que la somme sera suffisante, j'essaierai d'en trouver une d'occasion...

dimanche 8 août 2010

Dernière étape brodée terminée

Toutes les bonnes choses ont une fin. Je viens de terminé l'étape 9 de la pochette magique. Malgré mes habituels goûts douteux en matière d'harmonie de couleur, je trouve que cette fois, cela ne sort pas trop mal:



Il ne me reste plus que la couture… donc plusieurs étapes à franchir

1. Racheter du tissu, celui que j'avais choisi est resté en Suisse… tête de linotte un jour, tête de linotte toujours, profiter pour acheter le fil et les boutons pression.
2. Acheter un fer à repasser et une planche à repasser, ca aide quand c'est bien plat quand même.
3. Soit emprunter ou louer une machine à coudre, soit prendre une bonne grosse de courage et tout coudre à la main!

Que du fun en perspective :-) et je ne suis pas ironique, dans la région où je suis il semblerait que le Quilting et Patchwork soit à la monde, pleins de magasins dédiés, alors que pour la broderie et le tricot, je n'en ai trouvé qu'un ou il reste les laines des grandes surfaces.

samedi 7 août 2010

On se remet au bento...

Ben oui l'Ogre n'a pas de restaurant d'entreprise et j'avoue que j'ai tendance a beaucoup plus grignoter quand je n'ai pas quelques choses de prevu pour le midi. Pour l'instant ce n'est pas encore tres organise et pour une fois je n'ai pas fait de folie depensiere pour m'equiper, juste un vulgaire conteneur avec deux enplacements.

Premier bento australien:


a droite: salade verte, bettrave et feta
a gauche: quesadilla de champigon, n'ayant plus de tortilla, j'ai utilise du pain libanais, comme ils appellent ici. Et oui la cuisine mexicaine a aussi bien envahi le monde que la japonnaise.

Ce n'est pas esthetiquement une reusssite, meme si j'aime l'aspect de la salade et de plus j'ai du prendre un autre conteneur, la quesadilla ne rentrant pas dans le petit logement. Le prochain essai sera surement avec une recette de justbento. Je pense que je vais surement investir dans son livre.

Excusez pour le manque d'accent mais j'ecris depuis un clavier australien...

lundi 2 août 2010

Premier août aux Antipodes…

Que font deux Suisses en Australie le premier août? Ils fêtent la fête nationale suisse avec d'autre Suisses, bien sûr. Ils sembleraient que cela soit assez commun. Il y a un grand rassemblement autour de Sydney, mais nous avons eu la chance d'être convié à une autre célébration, plus restreinte, peut-être, où les Suisses et leurs amis (sens général) de la région de Hunter se rendent.

Tous se passe chez Max, un bon Bâlois prof de français. Approchant de la retraite lui et sa femme ont commencé à construire une maison dans la campagne… très jolie la maison… avec un énorme terrain autour. Les gens viennent et campent pour la fête.



Nous sommes arrivés vers midi le 31 juillet et, bien sur, les premières saucisses grillaient déjà, des saucisses de veau, des cervelas, des Wiennerlis et une autre saucisse d'origine indéterminée et même pas bonne, rien à voir avec une bonne schublig. Bref, le mot était dit pour cette fête, on va surement manger tout du long. Cela n'a pas manqué, j'ai gouté vraiment plein de chose délicieuse et pas uniquement suisse, de délicieux plat indien par exemple.

La soirée a vraiment débuter avec le feu de joie et j'en avais rarement vu des aussi beau et aussi gros chez un privé.




Nous avons chanté des chansons bien de chez nous, beaucoup ri, rencontré plein de monde, un excellent premier aout. Et le lendemain, nous avons eu le droit au brunch... Un excellent week end!

mardi 27 juillet 2010

Mon premier koala

Il aura fallu trois semaines et demi pour voir mon premier koala dans son pays.



Bon, soyons honnêtes, c'était dans une réserve et ils étaient un peu pathétique. Il y en avait 4, tous en boule sur des eucalyptus étêtés. Depuis que je suis arrivée, je me suis habituée à voir des perruches et des perroquets en libertés et entendre se plaindre d'eux comme nous nous plaignions des pigeons. Je n'ai encore vu aucun des serpents, insectes ou araignées que je redoutais tant. J'ai bien vu quelques cafards, mais franchement moins monstrueux que ce à quoi on essayait de me préparer.

Bref, trois semaines et demi, on prends ses marques dans une maison toujours aussi vide. On continue à aller au MacDo pour les connexions internet, mais le proxy empêche d'écrire des mails sous blogger. Alors ce message est un e-mail envoyé, on tente la manoeuvre.

Mes broderies et tricots sont aussi en panne sèche, pas de knitting meeting motivant, pas d'imprimante pour imprimer les dernières grilles à broder et faire tous cela assis à table est quand même franchement moins confortable...

Je conclurais avec une petit photo de la page, qui est quand même magnifique et tout prêt... vingts minutes en vélo...


mardi 8 juin 2010

J-21, Petit goût d'Australie

Plus que 21 jours avant le grand départ vers les côtes australes, alors on se prépare. La lecture de ce livre de voyage et de toutes les impressions qui vont avec, présente un visage de l'Australie qui ne donne envie que d'y aller.

Les préparatifs avancent doucement mais surement, les billets d'avion sont en poches après quelques péripéties. On a beau avoir un tout petit appartement, le débarasser n'est pas évident, c'est l'occasion de faire un grand tri.

Mais je digresse, revenons à ce fameux bouquin. Bill Bryson décrit les Australiens avec une grande tendresse, on se demande comment il a pu rentrer, vu tout le bien qu'il pense de ces voisins du dessous. Il ne raconte pas un mais trois voyages qu'il a fait là-bas. Le premier est un long voyage en train de Sydney à Melbourne. Le deuxième est un parcours dans l'Australie civilisée comme il dit. Le troisième voyage se concentre, lui, sur les déserts, le nord, Alice Springs et la côte occidentale.

Une seule chose à dire passionnant! Cela m'a donné envie de lire ces chroniques de l'Amérique.

Présentation de l'éditeur:

« Dans l’avion qui m’emportait vers l’Australie, je me suis aperçu, un peu honteux, qu’une fois de plus j’avais oublié le nom de leur Premier ministre. Cela m’arrive sans arrêt avec le Premier ministre australien : j’enregistre son nom et puis, presque aussitôt, je l’efface de ma mémoire, ce qui me donne un terrible complexe de culpabilité. Parce que j’estime qu’il devrait y avoir au moins une personne qui le connaisse hors de l’Australie… »
Ça c’est du Bryson tout craché, et bien sûr tout son livre sur l’Australie est ainsi. Voilà un pays qui fait rêver, dites-vous ? Sans doute, à part qu’il compte les animaux les plus voraces et venimeux, des déserts où mieux vaut ne pas s’aventurer pour un petit besoin, et puis des drôles de gens, mais tout de même bien attachants quand on arrive à leur faire sentir qu’on ne les considère pas comme des ploucs du bout des antipodes.
Bryson n’est pas vraiment un super-héro, mais il fait quand même tout ce qu’il peut pour devenir un Indiana Jones - mâtiné de Mr Bean… Cette fois il sillonne l’Australie en tous sens et s’attache à en aborder les thèmes les plus divers : faune et flore, bien sûr, mais aussi histoire (d’extraordinaires anecdotes sur l’exploration du coin), économie, sans oublier la « question aborigène », dont il nous révèle les horreurs, ainsi les enfants définitivement arrachés à leurs familles dans les années 1930 pour être « rééduqués ». Car il sait aussi être sérieux, Bryson, et s’il glisse un peu d’humour noir sur quelques thèmes graves de la colonisation, c’est pour mieux nous en faire mesurer l’aberration. Bref, l’Australie est une destination alléchante qu’on finit souvent par écarter de sa liste de projets de voyage à cause du prix. Alors un conseil : acheter simplement le prochain Bryson, vous voyagerez quasiment gratis en Australie…

vendredi 4 juin 2010

J-24, un peu de coyote dans un monde de manipulation

Je m'étais pourtant bien promis de ne plus m'acheter de livre mais quand je l'ai vu dans les rayons de mon dealer habituel, je n'ai pas résisté! Je me suis acheté le tome 4 de Mercy Thompson: La croix des ossements. Que dire, il est bien, très bien, comme ses trois grands frères. Mercy se retrouve toujours embrigadé dans les ennuis, mais elle fait des choix, elle essaie de ne pas se laisser aller malgré tout ce qui qui lui tombe sur le dos.

Petite mise en bouche amazon:

Marsilia, la Reine des vampires de la région, a appris que Mercy l'avait trompée en tuant l'un des membres de son clan... et elle n'acceptera que le prix du sang pour venger cette trahison. La jeune coyote-garou vient de tomber sur un os, car la sentence qui pèse sur elle en fait la cible de toutes les créatures à la botte des vampires. Heureusement que Mercy peut compter sur Stefan et sur l'Alpha si sexy qui a juré de la protéger. Mais s'ils étaient menacés par sa simple présence ? Et si, pour les épargner, Mercy n'avait plus qu'un seul choix : partir ?

Et bien celui-là, il fera partie des bouquins que je garde... J'ai gardé un échantillon de Bit-Lit, les Mercy Thompson, de l'Heroic fantasy avec la Rose du prophète et du fantastique avec le cycle d'Ambre, même si un est aux abonnés absents.

mardi 1 juin 2010

Etape 7 et autre broderie

Et voilà, l'étape 7 a été publiée, je m'y suis immédiatement attelée et la voilà terminée:


Ce n'est pas grand chose malgré le long temps d'attente, juste quelques points autour de la boucle bleue de gauche. Mais cela m'aura donné le temps de finir la grosse partie de mon ensemble de brodeuse qui répond au doux nom de Acorn Sampler Sewing Case. J'ai fini la partie qui décore la pochette.


Maintenant je m’échine à comprendre comment monter la doublure, normalement je me vante de bien comprendre l'anglais quand je le lis, mais mes notions de couture ne sont pas suffisantes pour comprendre ce que je doive faire.

Pour finir, sur une note toute autre HABEMUS TICKET, et oui, nous avons enfin acheté nos billets d'avion pour notre déménagement en Australie, ce qui m'aide bien pour me motiver à tout ranger même si je reste effrayé par la tâche à faire avant le départ le 28 juin. Et pour bien me décourager, voilà le temps dans notre futur chez nous.



Et voilà comment passer une année avec 15 jours d'été... bon je ne vais pas me plaindre, c'est pas ma saison préférée.

samedi 29 mai 2010

Tarte tatouille

L'été n'est pas encore vraiment là, mais l'émission C à vous et la recette de Babette de Rosière m'a donné sacrément envie d'une ratatouille. De plus, suite à un charmant repas à la maison avec 6 suisses-allemands pas fan de légumes, il me restait beaucoup de tomates, poivrons et courgettes. Il m'a suffit d'acheter une aubergine et la ratatouille était prête, mais bien trop grande pour manger en une fois. Donc, ce soir, l'idée: "Et si on en faisait une tarte". Ni une, ni deux, quelques dés de dinde fumés, un peu de fromage râpé et une première tentative d'une pâte brisée au seré.




Pâte brisée au seré.

- 150g de farine mi-blanche
- 1/2 cc de sel
- 75g de seré 0%
- 2 CS d'huile d'olive

On mélange le tout et on laisse reposer une demi-heure au frigo...

La tarte Tatouille

- un reste de ratatouille
- fromage râpé
- dés de dinde fumés (80g)
- liaison (un oeuf, une lampée de lait, sel, poivre, herbes aromatiques italiennes)

On superpose, en 1 la pâte, en 2 la ratatouille mélangée aux dés de dinde, en 3 la liaison, enfin, le fromage et on enfourne le tout 30 minutes au four préchauffé à 220°.

Un délice! Je n'ai eu que des compliments de mon homme et il en est avare...

samedi 8 mai 2010

Le prix (très lourd) de la magie

Dernier tome de la trilogie du dernier Hérault-Mage, je l'avais déjà lu, mais j'ai pu constater que j'avais beaucoup oublié et qu'il était encore mieux que dans mon souvenir. Finalement, il finit bien. Je pense que c'est celui où j'apprécie le plus le hérault Vanyel, il n'est pas une victime dans celui-ci.

C'est un de ceux qui décrivent le mieux la magie dans le monde de Valdemar. Très utile quand comme moi, on joue une mage dans un jeu de rôle sur Valdemar. Je ne suis pas encore sure d'avoir saisie toutes les nuances, mais cela vient.

Allez un petit résumé made in amazon.

Valdemar est au bord du chaos. Le roi agonisant n'est plus que l'ombre de lui-même, et le peuple karsite se rassemble autour d'un Prophète dans une guerre sainte contre les magiciens. Mais une menace bien plus terrible plane sur le royaume : une force obscure et mystérieuse, qui frappe sans jamais se dévoiler, semblable à celle qui hante depuis toujours les cauchemars de Vanyel. Cela fait beaucoup d'ennemis pour le Héraut-Mage. Mais il peut compter sur le soutien indéfectible de ses amis... et peut-être aussi sur celui de Stefen, ce jeune Barde volontaire et bien décidé à rompre enfin la solitude de Vanyel.

Cela n'avance pas ma PAL, mais je vais devoir l'abandonner de toute manière, elle ne me suivra pas en Australie.

mardi 4 mai 2010

L'étape n°6

Arrivée avec 4 jours de retard... mais l'attente fut bien récompensée... C'est toujours aussi agréable... dire qu'il n'y a plus que 3 étapes de broderie et une de couture.


Normalement, cela peut devenir soit une pochette à matériel de broderie, soit un petit porte-monnaie... dans mon cas, j'aimerai que cela devienne un petit porte-monnaie, de ceux qu'on utilise quand on ne veut pas l'habituel qui est trop encombrant.

lundi 3 mai 2010

Dernière lecture

La consolante n'avance définitivement pas, le rythme est lent, le sujet pas très passionnant malgré le style très agréable d'Anna Gavalda, je n'accroche pas. Alors mes lectures pour les transports avancent bien plus vite.

Je viens de finir la tome 3 des dossiers Dresden, j'avais bien sur lu la tome 2 avant même si je ne vous en avais pas parlé. La tome 2 parlait des loups garou, la tome 3, des fantômes et les deux sont tout aussi prenants. Les mythes des créatures de la nuit sont bien retravaillé je trouve dans ces romans. Les loups-garous ne sont plus simplement de pauvres ères mordu et qui se transforme en loup au pleine lune... il y en a différente variété, les bestiaux, les ensorcelés et les maudits et ils sont bien différents les uns des autres. C'est pareil pour les vampires, ce sont des créatures hideuses tenant plus de la chauve souris que de l'humain mais qui se cache sous des faciès en plastique pour cacher leur vraie nature et ils ne se nourrissent pas tous de sang.

Bref deux excellents romans, qu'on a pas envie de lâcher, pour dire, j'ai fini la tome 3 en 4 jours et pourtant je n'ai pas passé mes journées dessus. Bon, même si chaque histoire pourrait se lire individuellement, il y a assez de remarque aux précédentes aventures pour que cela gâche le plaisir de lire les tomes précédentes si on commence avec la tome 3. Je vous donne maintenant les petits résumés recopiés par bibi.

Lune Fauve: Les affaires ne vont pas fort. Elles sont même en arrêt maladie! Chicago devrait regorger d'affaires juteuses pour le seul magicien de l'annuaire, et pourtant, l'agenda d'Harry est aussi vide que le crâne d'un zombie.

Ah, enfin un meurtre! Enfin, si on peut dire... La police a besoin d'Harry pour élucider un cas très particulier: un corps en charpie, d'étranges empreintes riffues, la pleine lune... ça ne vous dit rien?

Tombeau ouvert: Harry Dresden a affronté sont lot d'horreurs, des vampires surexcités aux garous psychotiques. Mais toutes ces années passées à combattre le surnaturel ne l'ont pas préparé à ça: le monde des esprits est devenu fou. Les fantômes harcèlent Chicago, des spectres torturés, violents et ... sanguinaires. Quelqu'un - ou quelque chose - les pousse à se réveiller de méchante humeur. Pourquoi? et pourquoi la plupart des victimes ont-elles un lien avec Harry? S'il ne le découvre pas bientôt, il pourrait bien lui aussi passer de l'autre côté.